La Constance du prédateur par Maxime Chattam. Découvrez le résumé et des extraits du livre ainsi que son accès direct en version numérique ou papier.
La Constance du prédateur de Maxime Chattam vous fera plonger dans une enquête singulière et frissonnante !
Ce roman vous invite à suivre la traque d’un assassin et vous plongera dans le quotidien à la fois fascinant et effrayant du Département des Sciences du Comportement.
Quand cet auteur sort un nouveau roman, il est clair qu’il sera rapidement mis en avant dans l’actualité de la littérature française, et ce n’est pas un hasard, quand on connaît la qualité de ses ouvrages.
Quelques mots sur l’auteur :
Maxime Chattam
Traduit dans le monde entier, Maxime Chattam est un des maîtres du thriller français, qui s’inscrit avec succès dans tous les registres du genre (thriller, roman noir, fantastique).
Il a vendu plus de 7 millions d’exemplaires en France et est traduit dans une vingtaine de pays.
Plongez maintenant avec Ludivine Vancker dans le Département des Sciences du Comportement, les profilers, jusque dans l’âme d’un monstre.
La Constance du prédateur, résumé et extraits :
Ils l’ont surnommé Charon, le passeur des morts. De son mode opératoire, on ignore tout, sauf sa signature, singulière : une tête d’oiseau. Il n’a jamais été arrêté, jamais identifié, malgré le nombre considérable de victimes qu’il a laissées derrière lui. Jusqu’à ce que ses crimes resurgissent du passé, dans les profondeurs d’une mine abandonnée…
Extraits:
- La cruauté est le virus de l’humanité, hautement contagieux, surtout sur les tendres psychés en construction. Elle brise pour mieux s’implanter, à coups de dégâts irréversibles. Elle détruit et remplace, semblable à un programme informatique, sans états d’âme, sans hésitation, implacable. De toute évidence, les traitements inhumains corrompent l’essence de la victime, grattent la coquille fragile de toute matière souple, la curent, la nettoient, et remplacent le vide par ce qu’elle est elle-même: de l’inhumanité. Les monstres naissent dans l’enfance.
- Dès l’instant où elle avait compris la dimension psychologique forte des crimes, elle avait su qu’il lui faudrait faire le même voyage que lui. C’était évident, même si elle n’en avait pas envie. Se glisser dans la peau d’un pervers. D’un monstre. Sans le devenir soi- même. Encore et toujours ce connard de Nietzche.
- On fait des plans, on consomme une énergie folle à baliser son existence, et puis la vie passe par là et fout tout en l’air pour nous rappeler que nous n’aurons jamais le dernier mot. Ce serait trop facile.
Une fois encore, Maxime Chattam signe un roman magistral sur le mal et ses origines, comme il se plait à en faire son protagoniste depuis vingt ans maintenant. On vous laisse le découvrir dans sa version papier, numérique ou audio.
