La vie est un roman par Guillaume Musso. Voici le résumé et l’extrait de l’histoire, les avis des lecteurs ainsi que l’accès direct au livre.
La vie est un roman. En trois actes et deux coups de théâtre, Guillaume Musso nous immerge dans une histoire étourdissante qui puise sa force dans le pouvoir des livres et la rage de vivre de ses personnages.
La vie est un roman, la bande annonce :
De roman en roman, Guillaume Musso a noué un lien unique avec les lecteurs. Né en 1974 à Antibes, il a commencé à écrire pendant ses études et n’a plus jamais cessé.
En 2004, la parution de Et Après… consacre sa rencontre avec le public. Suivront notamment La Fille de papier, Demain, Central Park, Un appartement à Paris, La Jeune Fille et la Nuit, La Vie secrète des écrivains…
Traduits en quarante et une langues, plusieurs fois adaptés au cinéma, tous ses livres ont connu un immense succès en France et dans le monde.
La vie est un roman, le résumé :
« Un jour d’avril, ma fille de trois ans, Carrie, a disparu alors que nous jouions toutes les deux à cache-cache dans mon appartement de Brooklyn. »
Ainsi débute le récit de Flora Conway, romancière renommée à la discrétion légendaire. La disparition de Carrie n’a aucune explication. La porte et les fenêtres de l’appartement étaient closes, les caméras de ce vieil immeuble new-yorkais ne montrent pas d’intrusion. L’enquête de police n’a rien donné.
Au même moment, de l’autre côté de l’Atlantique, un écrivain au cœur broyé se terre dans une maison délabrée.
Lui seul détient la clé du mystère. Et Flora va le débusquer.
La vie est un roman, l’extrait :
La très discrète romancière de trente-neuf ans s’est vu décerner la prestigieuse récompense saluant chaque année un auteur pour l’ensemble de son œuvre.
Atteinte de phobie sociale, détestant ouvertement la foule, les voyages et les journalistes, Flora Conway n’avait pas fait le déplacement à Prague ce mardi soir pour assister à la cérémonie qui s’est tenue dans les salons de l’hôtel de ville.
C’est son éditrice Fantine de Vilatte qui s’est chargée de recevoir son trophée, une statuette en bronze à l’effigie de Franz Kafka assortie d’une récompense de 10 000 dollars.
« Je viens d’avoir Flora au téléphone. Elle vous remercie chaleureusement. Ce prix lui fait particulièrement plaisir, tant l’oeuvre de Kafka est pour elle une intarissable source d’admiration, de réflexion et d’inspiration », a assuré Mme de Vilatte.
Ce prix, remis par la Franz Kafka Society en collaboration avec la municipalité de Prague, est décerné depuis 2001 par un jury international. Parmi les lauréats figurent Philip Roth, Vâclav Havel, Peter Handke, ou encore Haruki Murakami.
Paru en 2004, son ambitieux premier roman, La Fille dans le Labyrinthe, l’a propulsée sur les devants de la scène littéraire. Traduite dans plus de vingt pays et saluée par la critique comme un classique instantané, l’ceuvre met en scène la trajectoire de plusieurs New-Yorkais le jour précédant les attentats du World Trade Center.
Tous se croisent au Labyrinthe, un bar du Bowery dans lequel Flora Conway a elle-même été serveuse avant de publier son roman. Ont suivi deux autres titres, L’Equilibre de Nash et La Fin des sentiments, qui l’ont imposée comme une romancière majeure du début du XXIe siècle. Dans son discours de remerciement, Fantine de Vilatte s’est d’ailleurs réjouie de pouvoir annoncer la sortie prochaine d’un nouveau roman.
Cette révélation s’est répandue comme une traînée de poudre dans le monde de la littérature, tant la parution d’un Conway constitue un événement. Une aura qui reste nimbée d’un certain mystère. Sans masquer son identité, Flora Conway n’est jamais apparue à la télévision, n’a jamais participé à une émission de radio, et sa maison d’édition diffuse toujours la seule et même photo d’elle.
Accès direct au livre :