Comme un battement d’elle par Sylvia Day. Voici le résumé et l’extrait du roman ainsi que les votes et avis des lecteurs.
Comme un battement d’elle, la nouvelle romance de Sylvia Day, l’auteure phénomène, n°1 au classement du New York Times.
Quelques mots sur l’auteure :
En tête de liste du New York Times, Sylvia Day est l’auteure best-seller, et à la renommée internationale, d’une vingtaine de romans primés, vendus dans plus de quarante pays. Elle est n°1 dans vingt-sept pays, et ses livres ont été imprimés à des dizaines de millions d’exemplaires.
Comme un battement d’elle, le résumé :
Jamais je n’aurais imaginé y parvenir, mais à présent, j’ai bel et bien trouvé ma place. Je vis dans une maison rénovée de mes mains, au cœur d’une région que j’aime, avec des amis que j’adore et un travail qui me comble. Réconciliée avec le passé, je pose enfin sereinement les bases de mon avenir.
Mais c’était sans compter sur l’arrivée de Garret Frost, un nouveau voisin, aussi obstiné qu’entreprenant. Cet homme est une véritable force de la nature et il vient perturber l’organisation de ma vie si bien réglée.
Je devine les fantômes qui le hantent, les tourments qui l’animent. Ses blessures l’ont rendu dangereux. Je crains d’être trop fragile pour la tempête qui fait rage en lui, trop délicate pour supporter sa douleur qui l’habite. Pourtant sa détermination est forte… et la tentation aussi.
Or parfois, même dans l’atmosphère la plus glaciale, la flamme peut se raviver.
Roman poignant, Comme un battement d’elle signe le brillant retour du phénomène mondial Sylvia Day, auteure à succès de la saga Crossfire vendue à plusieurs millions d’exemplaires dans le monde entier.
Comme un battement d’elle, l’extrait :
Je suis Bella et Minnie jusqu’à la porte du salon, parfaitement à mon aise dans cet environnement familier. Avec sa décoration traditionnelle d’un blanc immaculé, mouchetée de touches bleu marine et or, la maison de Roxy est à la fois sophistiquée et chaleureuse. Çà et là sont disposés des objets en mosaïque bariolée — dessous de verre, plats décoratifs, vases et autres bibelots — qu’elle crée et fait vendre par ses employés au marché de Pike Place.
Mais c’est le vaste panorama du détroit de Puget, derrière ses fenêtres, qui vole la vedette au reste de la pièce. La vue sur le détroit, ainsi que sur les iles Maury et Vashon, me coupe le souffle. Une gigantesque péniche rouge et blanc, chargée d’un empilement de containers multicolores, ralentit à la sortie de Tacoma en prévision de la manœuvre délicate qui s’annonce avant Poverty Bay.
Un remorqueur, minuscule en comparaison, avance péniblement dans la direction opposée. Toutes sortes d’embarcations de tailles variables, des barques jusqu’aux bateaux de plaisance, sont au mouillage sur la côte. Je ne me lasserai jamais de contempler les eaux scintillantes et les navires qui vont et viennent à toute heure du jour et de la nuit. Ce paysage m’a terriblement manqué pendant mon séjour à New York.
