Le Martyre des innocents par Tess GERRITSEN

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Le Martyre des innocents par Tess GERRITSEN. Voici le résumé et l’extrait de l’histoire, les avis des lecteurs ainsi que l’accès direct au livre.

Le Martyre des innocents, découvrez le résumé et l’extrait de ce thriller signé Tess Gerritsen.

L’Américaine Tess Gerritsen tire son inspiration de son expérience de médecin pour faire frissonner ses lecteurs. Adaptés à la télévision, ses romans, où l’on retrouve le célèbre duo Rizzoli et Isles, sont des bestsellers internationaux.

Ce qu’elle en pense:

” Les habiles intrigues de Tess Gerritsen et sa connaissance de la médecine donnent à ses thrillers quelque chose de plus. Attendez-vous à une plongée éprouvante dans les ténèbres. ”

Paula Hawkins, auteure de
La Fille du train

Le Martyre des innocents

Le Martyre des innocents, le résumé :

Deux meurtres. Deux macabres mises en scène. Un seul tueur ?

Région de Boston, pendant les fêtes de fin d’année. Une productrice de films d’horreur est retrouvée morte dans son appartement, les yeux arrachés et posés dans sa paume. Quelques jours plus tard, un corps, la poitrine percée de trois flèches, est découvert sur une jetée. Les deux crimes, qui semblent s’inspirer du martyrologe chrétien, sont-ils liés ? L’inspectrice Jane Rizzoli et la légiste Maura Isles mènent l’enquête. De nouveau, elles devront composer avec Amalthea Lank, la tueuse en série qui n’est autre que la mère biologique de Maura. Rongée par un cancer au pénitencier où elle purge sa peine, celle-ci tente en effet de manipuler une dernière fois sa fille, insinuant qu’elle détient un secret en lien avec les deux affaires…

Le Martyre des innocents, l’extrait :

À sept ans, j’ai compris pourquoi il est important de pleurer aux enterrements. L’homme étendu dans son cercueil en ce jour d’été particulier était mon grand-oncle Orson.

De son vivant, il m’avait surtout marquée par ses cigares, qui empestaient presque autant que son haleine, et sa propension à péter sans retenue. Il m’avait toujours ignorée autant que je l’ignorais, de sorte que sa mort ne m’avait pas peinée le moins du monde. Je ne voyais donc aucune raison d’assister à ses obsèques, mais on ne m’avait pas laissé le choix.

C’est ainsi que je me suis retrouvée à me tortiller sur un banc d’église, soupirant d’ennui et transpirant dans ma robe noire. Je me demandais pourquoi on ne m’avait pas autorisée à rester à la maison avec mon père, lequel avait refusé tout net de nous accompagner. Il détestait le défunt, avait-il rappelé, et aurait été le dernier des hypocrites s’il avait fait semblant de le pleurer. Si le sens du mot « hypocrite » était un mystère pour moi alors, je savais au moins que je n’avais pas envie de l’être non plus.

Pourtant, coincée entre ma mère et tante Sylvia, j’ai dû subir un concert interminable de louanges insipides à l’égard d’un homme parfaitement quelconque : « Un modèle d’indépendance », qui « s’adonnait sans compter à ses passions » et « chérissait sa collection de timbres ». Personne n’a mentionné son haleine de chacal. Pour tuer le temps, je m’amusais à observer les têtes des personnes assises sur le banc devant nous.

J’ai remarqué ainsi que le chapeau de tante Donna était saupoudré de pellicules et que le postiche d’oncle Charlie, qui s’était assoupi, penchait de côté. On aurait dit un rat brun qui cherchait à s’échapper. J’ai réagi alors comme l’aurait fait n’importe quelle gosse de sept ans : j’ai éclaté de rire. Des gens se sont retournés et m’ont fusillée du regard tandis que ma mère, mortifiée, plantait ses ongles dans mon bras.

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