Les morts ne pleurent pas: L’assassin aux perles par Eve Ruby Lenn

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Les morts ne pleurent pas: L’assassin aux perles par Eve Ruby Lenn. Résumé, extrait et avis des lecteurs ainsi que la biographie de l’auteure.

Les morts ne pleurent pas : L’assassin aux perles. Découvrez le résumé et un extrait de l’histoire. Mais auparavant, découvrons qui est l’auteure ?

Eve Ruby Lenn est née en 1963 en région Île-de-France. Elle consacre son temps libre à ses deux passions: La lecture et l’écriture.

Auteur de plusieurs recueils dans la catégorie Horreur et fantastique, elle a publié deux romans : Les Ombres-Les Observateurs chez Librinova en 2017 et Les Ombres-Les Informateurs en 2018. Cette passionnée de fantastique à l’imagination débordante, aime surprendre le lecteur, l’amuser, et le faire frissonner.

Fan inconditionnelle d’Arthur Conan Doyle, Edgar Allan Poe et de Stephen King, son plaisir est de faire évoluer ses personnages au cœur de situations intrigantes et dangereuses.

Un roman en cours, et quelques nouvelles, pour son plaisir et celui de ses lecteurs…

Les morts ne pleurent pas

Les morts ne pleurent pas : L’assassin aux perles, le résumé :

Londres, décembre 1843.

Le corps d’une deuxième femme vient d’être découvert. Scotland Yard se retrouve dans l’impasse, alors que les crimes se poursuivent.

Pour faire avancer cette enquête complexe, l’inspecteur Dorian Griffith en appelle au Dr Johnstone. Un expert médico-légal confirmé qui dirige une entreprise de pompes funèbres.

Les morts ne pleurent pas : l’extrait :

Depuis quelques semaines, dans le district de Spitalfields, les tragédies se comptaient par dizaines. Des rumeurs faisaient état de bandes d’individus aux mœurs loin d’être irréprochables. Des voleurs et d’infâmes vagabonds qui attendaient dans les recoins et les arrière-cours, l’arrivée de victimes à dépouiller, à frapper ou à tuer sans raison apparente.

Lorsque ce genre d’homicide survenait, la police ne trouvait jamais aucun témoin.

Et si éventuellement quelqu’un avait vu quelque chose, le lendemain, il revenait sur son témoignage par crainte de représailles. Habitués à de telles scènes, les riverains se montraient prudents. En grinçant des dents, priant que jamais leur tour ne vienne.

Après diverses enquêtes de voisinage et quelques recoupements, Scotland Yard avait envoyé un détachement d’une vingtaine de policiers. Et ce, afin de protéger la population et de mettre fin aux activités criminelles de voyous qui menaçaient sérieusement la sécurité d’autrui.

Le but de cette patrouille était de découvrir leurs repaires secrets et d’obtenir la preuve irréfutable de leurs pratiques cruelles et funestes. Et cette première étape s’était déroulée avec succès. Griffiths et ses hommes étaient descendus dans ce quartier au milieu de la nuit, et s’étaient discrètement rapprochés des mécréants avant de les encercler, mettant un terme à toute une série d’actes répréhensibles. Les détectives imaginaient déjà les titres de la presse du lendemain :

« Scotland Yard vient de mettre fin aux activités de la bande de « Jack l’Irlandais »,

les auteurs de divers crimes depuis août à Spitalfields, dans l’East End.

Avec nostalgie, il se souvint de sa première patrouille dans ce district bien connu. Revêtu d’une tunique et d’un pantalon bleu foncé, d’un chapeau noir et d’une matraque en bois de quelques pouces, il s’était senti fier de protéger les bons citoyens des malfaiteurs. Instituée, en 1829, par le Premier ministre Robert Peel, la police métropolitaine avait, à ses débuts, été accueillie avec méfiance par les Londoniens. Mais peu à peu, cette nouvelle génération d’officiers avait gagné la confiance du peuple, et par la même occasion faisait les gros titres de la presse sous le nom de Scotland Yard.

À cette époque, Londres était dotée d’un certain nombre de forces de police : celle de Thames River, de la Cité de Londres, les gardiens des paroisses et veilleurs de nuit, les coureurs du commissariat de Bow Street, etc. Mais comme les différentes unités travaillaient de manière indépendante, et que chacune d’elles agissait dans les limites de ses districts, certains criminels parvenaient à se faufiler à travers les mailles du filet. Pour échapper aux poursuites d’une juridiction, il leur suffisait de passer d’une circonscription à une autre. Les délits en tous genres se multipliaient, et les habitudes malfaisantes et immorales de certains individus restaient impunies.

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